Lors de nos soirées-débat nous avons récolter collectivement de graines de transition à faire germer ensemble…
Se déplacer après le pétrole :
– Rendre visible les alternatives par des actions « journée sans voiture »,
– Créer une association de réparation de vélos,
– Échanges de savoirs-faire pour entretenir et réparer son vélo ou autre,
– Sensibiliser les enfants, les automobilistes au partage de la voie publique,
– Inviter les élus à expérimenter les déplacements doux aux heures de pointe,
– Informer sur les sites facilitant co-voiturage, transports en commun, échanges de jobs,
– Créer de nouveaux transports collectifs ? Transport à la demande entre les communes, développement du pédibus, création d’un hippobus pour les écarts ?
- Jardin collectif
- Ateliers d’apprentissage du jardinage au naturel (adultes, enfants…)
- Echanges de savoir en cuisine (+conservation des aliments) et dégustation collective
- Apprendre à cuisiner autrement : plantes sauvages, végétarisme
- Atelier de réalisation de composteur, de toilettes sèches
- Achat collectif d’un broyeur de déchet de taille
- Inviter les collectivités locales à planter des arbres « comestibles » (fruitiers, noisetiers, châtaigners) et créer des potagers libres dans les espaces verts
- Faire des récoltes collectives pour les associations caritatives ou pour faire une soupe publique (ou populaire)
- Adhérer en nombre à la future AMAP afin de créer du lien direct entre consomm’acteurs et producteurs et inciter les producteurs locaux à passer à la bio
- Créer de la solidarité : SEL en projet au Centre Social
Se soigner après le pétrole :
- échanges de savoir autour de la santé et des recettes de grand-mère
- développer une production locale de plantes médicinales (AMAP?)
- sensibiliser aux liens entre environnement et santé (déchets, habitat, aliments, eau, air)
- sensibiliser à une alimentation saine
Se chauffer après le pétrole :
– S‘informer/informer sur les techniques d‘isolation et de chauffages alternatifs aux énergies fossiles
– Témoigner sur des expériences réussies (échanges de savoirs–faire)
– Développer l‘auto–construction (les Castors avaient montré la voie) et les habitats partagés
– Eduquer les jeunes et les enfants sur l‘importance de préserver les ressources
– Inviter les collectivités, les particuliers, les agriculteurs à planter haies et arbres pour développer la ressource bois
– Réduire les consommations d‘énergie : l‘initiative « Familles à énergie positive » est une démarche très intéressante (voir avec CPIE)
– Développer les bilans thermiques : une démarche collective permettrait de sensibiliser et de permettre au plus grand nombre de connaître les failles de l‘isolation de son habitat (le CPIE pourrait peut–être nous aider ?)